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association lesbienne , gay, trans & bi : convivialité, solidarité, militantisme et vigilance accueil activités 2019 l'agenda activités 2018 nous sommes.... nous contacter le conseil d'administration 2018 archives d’activités 2017 liens asso adheos asso aides asso gays randonneurs nantais asso quazar centre lgbt nantes centre lgbti de vendée sauna atlantis la rochelle sida info service sos homophobie véronique agrapat sexologue vos messages privés vous devez être connecté à votre compte pour me contacter soutien aux victimes d’orlando une femme trans reconnue victime de violences volontaires de la part de son voisin. posté par gaytitudes le 7 juillet 2019 communiqué de presse angers, le 25 juin 2019 angers, une femme trans reconnue victime de violences volontaires de la part de son voisin. la circonstance aggravante de transphobie non retenue. mardi 25 juin 2019, le tribunal correctionnel d’angers a condamné louis-marie verron pour violences volontaires à l’encontre d’une femme trans angevine. les faits ont été requalifiés en régime contraventionnel et l’agresseur a été condamné à une amende de 150€. les faits remontent au 31 octobre 2017 en soirée, cette femme trans, accompagnée d’un ami voisin, attendait l’ouverture de sa porte de garage, quand un autre voisin de sa résidence arrivait à leur niveau. s’en suivait des propos transphobes à l’égard de la victime : « je vais la niquer comme un bonhomme, puisque c’est un mec de toute façon . » propos confirmés par le témoin occupant la place de passager. quelques minutes après, l’agresseur retrouvait les deux passagers dans le garage de leur résidence, déchargeant leurs courses. la caméra de surveillance du sous-sol a filmé une scène rapide, au cours de laquelle l’agresseur s’attaquait physiquement par deux fois à la victime. en la poussant violemment et la jetant au sol, la première fois, et en lui assénant un coup violent au visage la seconde fois, la faisant chuter pour la seconde fois. une victoire symbolique cette condamnation est une victoire modeste mais réelle pour cette femme qui avait connu le classement sans suite de sa plainte de la part du procureur d’angers et de la procureure générale près la cour d’appel d’angers. la condamnation de cet agresseur, prononcée par le tribunal correctionnel, contredit totalement la version de la police, du procureur et de la procureur générale, qui eux donnaient foi à la version de l’agresseur selon laquelle la victime l’attendait avec une barre de fer. ils estimaient que les coups portés par la voisin étaient proportionnés à la menace qu’aurait représenté une barre de fer. pourtant, la vidéo ne montre à voir aucune barre de fer, ni geste agressif de la victime envers qui que ce soit. a angers, la transphobie n’est toujours pas reconnue le fait que la circonstance aggravante de la commission des faits à raison de l’orientation sexuelle et l’identité de genre n’ait pas été retenue minimise la portée de l’agression subie par cette femme trans. les propos rapportés par le témoin auraient dû permettre de qualifier les faits de transphobie. dans ces conditions, quazar, qui s’était constitué partie civile à la demande la victime, a été déboutée courage et ténacité de la victime quazar tient a souligner tout particulièrement le courage et la ténacité de cette victime qui se bat depuis des années contre le ministère public, qui classe sans suite ses plaintes quand elle est injuriée ou agressée par son voisinage. cette condamnation, bien que trop modeste, constitue la preuve que ce qu’elle dénonce est bien sa réalité quotidienne. le vendredi 7 juin dernier, la victime a été contrainte de poursuivre ce même voisin, louis-marie verron , face au refus du procureur d’angers d’engager des poursuites pour deux affaires d’injure non publique, par voie de citation directe devant le tribunal de police d’angers. le 7 juin, elle a obtenu qu’il soit reconnu coupable pour la première affaire et condamné à 30€ d’amende. il a été relaxé pour la seconde affaire. quand la transphobie va-t-elle être mise au tapis à angers ? depuis ces faits, ce même voisin a récemment à nouveau provoqué et insulté cette femme trans devant leur résidence, déclarant la considérer comme un homme. une nouvelle plainte a été déposée par la victime avec cette fois une vidéo captant les propos tenus. quazar reste proche et au soutien de cette victime pour faire reconnaître et défendre ses droits contre la transphobie dans un parcours judiciaire dont elle doit décider de la suite à donner. source : stéphane corbin, référent pôle juridique, défense des droits, accompagnement des victimes de quazar, centre lgbt d’angers 06 22 09 09 66 droit-defense.victimes@quazar.fr www.quazar.fr publié dans associations ami , associations partenaires , communiqués , défense et droits lgbti+ , les infos de la gay sphère , sexualité différente | pas de commentaire » la peur commence a gagné ceux qui ce croient tout permis posté par gaytitudes le 14 juin 2019 agression homophobe à la roche-sur-yon : après leur expulsion, deux étudiants de l’ices demandent leur réintégration le 28 mai dernier, le conseil de discipline de l’institut catholique de vendée excluait définitivement deux étudiants après leur participation à des actes de vandalisme d’un stand lgbt. ces deux étudiants ont écrit à l’évêque de luçon pour demander leur réintégration. le 28 mai dernier, treize étudiants se voyaient sanctionnés par le conseil de discipline de l’ices après des actes de vandalisme sur un stand lgbt, le week-end précédent à la roche-sur-yon en vendée. deux de ces étudiants, exclus définitivement, ont adressé le 4 juin dernier un courrier à monseigneur jacolin, évêque de luçon et, par ailleurs, chancelier de l’institut catholique de vendée. dans ce courrier, notamment relayé par l’hebdomadaire valeurs actuelles, les deux étudiants estiment avoir été les victimes d’une « terrible sanction » « disproportionnée », par rapport à ce qui leur est reproché « nous avons chahuté un stand lgbt sur la place napoléon ». « nous vous présentons toutes nos excuses de ne pas avoir anticipé le fait que des adversaires déclarés ou sournois à la saine doctrine catholique – et des institutions sociales comme l’ices qui la portent – chercheraient à la discréditer en raison de la forme maladroite que notre protestation a prise », écrivent les deux étudiants, poursuivant, « notre action n’a été que l’expression de notre désarroi face à la banalisation de revendications de « droits » qui blessent nos consciences de jeunes adultes ». « ne nous laissez pas condamner à la vindicte publique et peut-être même à la mort sociale puisque nous risquons très sérieusement d’être bloqués pour la poursuite de nos études supérieures, ce qui pourrait briser l’avenir des familles catholiques que nous sommes peut-être appelés à fonder » , implorent les deux exclus de l’ices. « en tant que chancelier de l’ices nous vous supplions publiquement d’œuvrer à notre réintégration et, au besoin, de l’ordonner. vous êtes notre planche de salut. par pitié, n’abandonnez pas vos enfants » , concluent-ils dans leur courrier à monseigneur jacolin. deux des 13 étudiants impliqués dans l’agression du 18 mai dernier ont été définitivement exclus. un troisième étudiant exclu aura la possibilité de se réinscrire à l’ices dans un an. le conseil de discipline a décidé de procéder à des exclusions avec sursis de 6 à 24 mois pour 9 autres étudiants. une sanction assortie de peines d’intérêt général. un 13e étudiant a écopé d’un simple blâme. source : https://france3-regions.francetvinfo.fr/pays-de-la-loire/ tout cela ne serait pas des pressions sur la justice de la république déguisé ? que ce rassure nos agresseurs, un bon père de famille catholique respectant l’amour de l’autre n’a pas besoin d’étude supérieur pour travailler à l’usine. publié dans actu lgbti+ international , communiqués , défense et droits lgbti+ , vie gay international | pas de commentaire » communiqué du centre lgbt de vendée pos